De Villelaure (Vaucluse) à Arpaillargues-et-Aureillac (gard)

Parti à la fraîche sous les cris de Décibel, le coq du jardin à Villelaure, j’enfourche vers 7h en direction d’Avignon. Je cherche à joindre Uzès ou Alès dans la journée selon les conditions.

Le temps est couvert sur tout le trajet, et le vent ne souffle pas trop. Ce sont des conditions idéales. J’arrive vers 10h à Avignon, après une bonne pause au Décathlon à l’entrée de la ville. Je visite le centre ville (photo) en particulier le palais des papes et son super jardin et quelques vues sur le « pont d’Avignon ».

Sortir d’Avignon est une mission, et elle n’est pas spécialement pour les vélos. La N100 ressemble à une autoroute et je dois zigzaguer entre les poids-lourds qui accélèrent pour monter le pont (pas le pont d’Avignon). Je le fais sur le trottoir d’un mètre de large et ça passe bien mais je me rends compte que la N100 n’est pas pour moi. Je bifurque alors sur la D2 et part vers les villages de Aramon, Théziers et Rémoulin, puis Uzès par la nationale beaucoup moins dangereuse.

Le camping que j’avais repéré n’existe plus ! Raison pour laquelle je me suis perdu pour le trouver. Je fais demi-tour pour remonter à l’office (car oui, Uzès est en haut, quelle que soit la direction) qui me dirige vers la merveilleuse ville de Arpaillargues-et-Aureillac (obligé de faire un copier/coller). Merveilleuse que par le nom car je ne l’ai même pas vue. Le camping est un peu avant.

J’ai mis du temps à entendre parler une autre langue que le néerlandais ici ! (de l’anglais en l’occurence) La piscine ravit les petits comme les grands. Dépliage de tente et petite sieste bien au chaud avant de piquer une tête. 20 euros c’est cher pour poser une tente, mais je ne vais pas commencer à râler, c’est mon premier jour ! (ou presque).