Sur la table, la lampe a pétrole était déjà allumée, mais les deux fenêtres étaient écarlates, comme si le soleil, en se couchant, était tombé dans la cour. Maintenant il flambait dans la caisse de béton et le mur était couvert de flammes qui léchaient les carreaux.

L’écrivain slovène Boris Pahor décrivant l’incendie par les fascistes, en 1920, du Narodni Dom, le centre communautaire slovène de Trieste.

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